Samstag, 4. Juli 2015


. HEIMAT

 
 
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Video "ARD-Themenwoche: Meine Heimat Alentejo" - l...
Die Filmemacherin Lourdes Picareta verließ ihre Heimat, die portugiesische Provinz Alentejo, um in Deutschland zu studieren und zu arbeiten. Auf einer sehr persönli...
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LÄNDER MENSCHEN ABENTEUER: ALENTEJO, MEINE HEIMAT

am 4.10.2015 um 15,15 im SWR im Rahmen der ARD Woche HEIMAT 


Was ist das, wenn ein Aroma uns plötzlich in die Zeit unserer Kindheit und Jugend katapultiert? Das ist Heimat. 


Bei mir ist es der Duft der Orangenblüten. 


Portugal - Meine Heimat Alentejo

Ein Film von Lourdes Picareta

Kamera: Jac-Uwe Otto

Ton: Markus Seifried

Schnitt: Ellen Scheider


Meine Reise in meine Heimat Alentejo, wo die Orangenbäume blühen, ist nicht bloß eine Reise in meine Vergangenheit. Es ist ebenfalls eine Reise in die Gegenwart der größten Provinz Portugals, das Alentejo. Ich habe mein Land verlassen, um in Deutschland zu studieren und bin hier "hängen geblieben". 
Aber jemand hat einmal gesagt: 
"Vergiss deine Vergangenheit nicht, blicke dabei in die Zukunft, um so eine starke Gegenwart zu schaffen."







In diesem Sinne beginne ich meine Reise in meinem Dorf, in Santa Iria, wo ein  exquisites Bio - Olivenöl gemacht wird. Die Olivenbäume waren schon 500 Jahre alt, als die Portugiesen im 16. Jahrhundert zu ihren Entdeckungen in der neuen Welt aufbrachen.

Mit diesem Öl bereiten wir "Acorda" zu, eine Koriander-Suppe mit Kabeljau und Eiern, diesmal in einer urigen Kneipe, wo uns das Rezept von Männern an der Bar-Theke vorgesungen wird. 



Diese Männerchöre des Alentejo sind seit November 2014 UNESCO- Kulturerbe und auch sie sind Teil meiner Kindheit - als die Landarbeiter auf dem Weg zur Feldarbeit sangen.
Mit ihnen habe ich die Nelkenrevolution 1974 in Portugal erlebt, die uns die Freiheit nach langjähriger Diktatur zurückgebracht hat.  Alfredo Cunhal Sendim, Neffe eines Großgrundbesitzers - früher der Feind – überrascht mich heute mit seinen Ansichten: "Der Mensch muss im Einklang mit der Natur leben, weg von den Monokulturen und industriellen Produktion, sonst ist er selber zum Tode verurteilt, wenn er nur auf Gewinn setzt."


Überrascht werde ich auch von der 25-jährigen Vera Santos. einer jungen Frau, die Vorarbeiterin der Männer bei der Korkernte ist. Früher undenkbar.  Der Alentejo hat sich verändert, doch immer noch wandern viele aus.




Neu ist, dass manche junge Leute zurückkommen: Joao Silva, ein Wanderbarbier, der von Beja aus in die Dörfer fährt; Pedro Mendes, Küchenchef in einem 5-Sterne-Hotel von Vila Vicosa, der rustikale Spezialitäten des Alentejo wie Eicheln oder das iberische Schwein in Haute Cuisine verwandelt.

 
                                                                               


Meine Reise endet an der schwarzen Felsenküste des Alentejo mit seinen einsamen kilometerlangen Stränden, meinem Urlaubsparadies. Hier treffe ich auf Ute Gerhard, eine Deutsche Pferdehofbesitzerin, die schon so lange in Portugal lebt wie ich in Deutschland. Verschränkte Heimaten.


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INDIEN


zu sehen in: https://www.youtube.com/watch?v=v8cPc99GOCI



Indien - Gewalt im Lande Gandhis | ARTE

www.arte.tv/guide/de/050500-000/indien-gewalt-im-lande-gandhis
15.06.2015 - ... zwei Millionen Mädchen und Frauen, die jährlich in Indien umgebracht werden. Woher kommt diese unermessliche Gewalt im Lande Gandhis?

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Violence au pays de Gandhi | ARTE
Maintenu au mépris de la loi, le système de castes en Inde prospère sur le dos des minorités et des femmes, ses premières victimes. Une enquête glaçante sur les vio...

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    LE MONDE
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    La déroute des Indes
    Lors d’une soirée thématique, « l’Inde, géant aux mille visages », Arte décrypte les réalités d’un pays sclérosé et inégalitaire (mardi 7 juillet à 20 h 55 sur Arte...

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    image: http://s2.lemde.fr/image/2015/07/07/534x0/4673637_3_7b0d_maintenu-au-mepris-de-la-loi-le-systeme-de_dd14aed33cb789af668fbeb83887836b.jpg
    Maintenu au mépris de la loi, le système de castes prospère sur le dos des minorités et des femmes, ses premières victimes. Une enquête glaçante sur les violentes inégalités qui rongent la société indienne.
    Lors d’une soirée thématique, « l’Inde, géant aux mille visages », Arte décrypte les réalités d’un pays sclérosé et inégalitaire (mardi 7 juillet à 20 h 55 sur Arte).
    Amis de l’Inde et de ses sortilèges colorés, de ses déesses à trompe, de ses vieux palaces coloniaux, des romans de E. M. Forster et des films survitaminés et kitsch produits à Bollywood, passez votre chemin : le documentaire de Lourdes Picareta, que diffuse Arte dans le cadre d’une soirée thématique intitulée « L’Inde, géant aux mille visages », vous renverra de manière cinglante à une réalité résumée en quelques mots dès le sommaire du film : « L’Inde, pays de splendeur mais aussi pays d’inégalités : son système est le plus inhumain de la planète. »
    On voit très vite des hommes déféquer dans une rigole d’égout et l’on imagine bien des vaches s’y rafraîchir et des enfants la traverser en s’éclaboussant quelques mètres plus loin. Ceux qui ont l’avantage, assez relatif, de pouvoir déféquer chez eux, dans le coin de la cour, font appel à des femmes dont le rôle, de mère en fille, est d’aller ramasser les déjections de ceux qui les dominent de peu socialement, à quelques dizaines de roupies près : « Installer un WC, explique une habitante d’un quartier pauvre et sans eau courante, reviendrait à débourser ce qu’on gagne en un an ; tandis qu’employer ces femmes pour vidanger les lieux d’aisance revient à 20 centimes de roupies par semaine. »

    Tout est affaire de caste

    On lui demande si cette solution qui lui semble idéale n’est pas de l’exploitation de très pauvres par d’un peu moins pauvres : « Il faut bien qu’elles fassent quelque chose ! » Et de jeter aux pieds des malheureuses les quelques pièces accordées pour ne pas les leur donner de la main à la main.
    Tout est affaire de caste, en ville comme à la campagne. Et si vous êtes un « intouchable », la caste la plus basse de l’échelle du pays, vous ne valez rien. D’ailleurs, dit l’avocat indien Colin Gonsalves, qui défend bénévolement les plus pauvres dans le cadre d’une organisation humanitaire, pour beaucoup d’hommes « une vache vaut davantage qu’une femme ». Ce qui explique le taux élevé de violence conjugale (65 %), dont traite ensuite le documentaire de David Muntaner, Le Pays qui n’aimait pas les femmes (21 h 45), et les nombreux viols et meurtres de femmes « intouchables » par des hommes d’une caste supérieure.
    Shbanam, une adolescente de cette caste, a été droguée, violée et filmée par une bande d’hommes. Elle a eu le courage de porter plainte, elle a refusé l’argent qu’on lui proposait pour retirer sa plainte. Grâce à l’avocat, elle a pu faire mettre sous les verrous deux de ses agresseurs et bénéficie désormais d’une protection policière permanente dans un lieu tenu secret, loin de son village. Mais là-bas certains de siens considèrent encore qu’elle l’a cherché et qu’elle est ni plus ni moins une prostituée. Une femme de sa caste, outrée, décline, le regard mauvais, les motifs de dépravation de la jeune fille : « Elle avait un téléphone portable, elle appelait des gens, et elle allait en ville ! »

    Tribunaux illégaux mais tout-puissants

    L’Inde interdit officiellement la reconnaissance des castes. Mais le système politique du pays – que d’aucuns parmi les témoins interrogés par Lourdes Picareta qualifient de « totalitaire » – les tolère et laisse perpétrer d’affreux crimes, dont certains sont même avalisés par des tribunaux villageois, constitués d’anciens – des hommes exclusivement – et d’une caste supérieure aux « intouchables ». Si un(e) accusé(e) est condamné(e), « il ne peut plus vivre dans le village, venir manger chez nous ou même toucher nos objets », déclare l’un des membres de ces tribunaux illégaux mais tout-puissants. Beaucoup parmi les bannis fuient, quand ils ne se suicident pas.
    Cette violence sociale éclate d’une manière encore plus spectaculaire dans les grandes villes : des immeubles flambant neufs abritent des familles parmi les plus riches du monde. L’une d’entre elles vit dans 37 000 (sic !) mètres carrés, emploie 600 domestiques « intouchables » recrutés directement dans le bidonville sous ses fenêtres, installés là où le chantier de l’immeuble abritait les masures des ouvriers ayant construit le bâtiment. Et payés une misère pour un travail sans jours de congé.
    Lourdes Picareta a rencontré beaucoup d’intellectuels indiens – dont beaucoup de femmes, professeures, chercheuses, journalistes – qui, parfois au péril de leur vie, dénoncent ces faits et attaquent de front l’imagerie d’une Inde à la démographie galopante et à la croissance économique spectaculaire.
    Le documentaire développe également avec beaucoup de sagacité les terribles conflits de religion (entre hindous et musulmans), la malnutrition de quelque 600 millions d’habitants parvenue « à un stade pire que celui de l’Afrique subsaharienne », le pouvoir politique de droite soutenu par des milices « qui voient leur modèle chez Mussolini et Hitler », dit même l’un des témoins.
    Violence au pays de Gandhi et le reste de la soirée d’Arte fournissent décidément de quoi largement revisiter les poncifs béats d’une Inde éternelle et mythifiée, mais en fait sclérosée, inégalitaire et ultraconservatrice.
    Violence au pays de Gandhi, de Lourdes Picareta (All., 2014, 55 min). Mardi 7 juillet à 20 h 55 sur Arte.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2015/07/07/la-deroute-des-indes_4673639_1655027.html#wPYOJ5EBZtAFHWjx.99


















      GEWALT IM LANDE GANDHIS BEI ARTE am 7 Juli 20,15 UHR


      http://www.arte.tv/guide/de/20150707


      ARTE AM 7.7. UM 20:15 -


      Indien - Gewalt im Lande Gandhis
      Der Knall geschah am 16. Dezember 2012 als eine 23-jährige Studentin in Neu-Delhi von sechs Männern in einem fahrenden Bus vergewaltigt und brutal gefoltert wurde. zwei Wochen später erlag sie im Krankenhaus schweren, inneren Verletzungen. Es war wie ein Weckruf, denn diesmal war das Opfer eine Frau aus der Mittelschicht, und es passierte mitten in der zivilisierten Hauptstadt des Landes, in New Delhi. Doch die Studentin aus Delhi war eine von zwei Millionen Mädchen und Frauen, die JÄHRLICH in Indien umgebracht werden.
      Woher kommt diese unermessliche Gewalt im Lande Gandhis?
      Als Ausgangspunkt der ARTE Dokumentation steht die Überzeugung, dass die Gewalt gegen Frauen in Indien letztlich ein Ausdruck der in vielen Bereichen der Gesellschaft vorherrschenden Gewalt ist. Letztlich strukturiert Gewalt ganze Bereiche der indischen Gesellschaft. Man denke nur an das Kastenwesen, die Indifferenz gegenüber den Armen, die Selbstverständlichkeit der Kinderarbeit, die Gewalt gegen religiösen Minderheiten, oder das brachiale Vorgehen von Armee und Polizei bei Protesten, obwohl die Verfassung den Bürgern das Recht dazu garantiert.
      Andererseits – und das ist das Frappierende und nahezu Unfassbare in Indien – handelt es sich um ein Land mit einer äußerst lebendigen und aktiven Zivilgesellschaft, mit einer gebildeten intellektuellen Elite und mit einer kaum überschaubaren Vielfalt von Kulturen, Sprachen, Glaubensbekenntnissen und Ethnien, die dennoch irgendwie zusammenleben.
      Diesem Widerspruch geht der Film nach.
      Der Film schaut hinter der Fassade von "Indien, die größte Demokratie der Welt". Nicht nur die Rechte der Frauen und Armen werden mit Füßen getreten. Auch die größte Minderheit im Lande, die 180 Millionen indischen Muslime – von 1,2 Milliarden Indern- leidet unter der Diskriminierung durch den wachsende Hindu-Nationalismus. Und es kommt immer wieder zu sogenannten „Gewaltexzessen“, die eigentlich nur als Pogrome zu bezeichnen sind.  Der im Mai 2014 gewählte Premierminister Narenda Modi , Hoffnungsträger inländischer und ausländischer Investoren, ist politisch in der Hindu-Natinalistischen Bewegung groß geworden."Indien den Hindus" lautet die Parole, die seitdem enorm an Verbreitung und Einfluss gewonnen hat.
      ARTE befragte Experten aus Politik, Wirtschaft, Religion und Juristen und sprach mit Opfern von Vergewaltigungen und Pogromen . Ein Versuch, mit deren Analysen und Erlebnissen das Phänomen der Gewalt im Lande Gandhis zu ergründen.

      AUCH ICH WAR ÜBER ALL DAS ÜBERRASCHT!